mercredi

blowjob

Comment intituler ce chapitre, comment commencer ce message, sans avoir l'air de faire du racolage ?


A voir ce court métrage d'Andy Warhol

BLOWJOB (1964)

qui me fait terriblement planer ces temps ci :

être à la place de celle qu on ne voit pas ici !




http://www.youtube.com/watch?v=ZutcjfJATRI&hl=fr


Ainsi je descendrais doucement le long du torse . . .


j'inspire profondement toutes les odeurs et immediatement l‘eau me monte à la bouche. Il ne me reste qu'un simple vêtement à ôter, son caleçon. Je me retiens encore quelques seconde avant de délivrer l'objet de ma convoitise.

Quelques coups de langues, je le prends dans ma bouche et savoure les palpitations de ce membre dur et chaud, tendre et doux sous mon palais.

Et toujours je m'enivre de cette odeur de sexe, de savon frais, de transpiration, de musc, je suçote doucement comme un môme sucerait son pouce, je salive et introduit plus profondément le gland que j’écrase contre mon palais avec ma langue, je repars et reviens plus vigoureusement jusqu'à ce qu'il vienne me chatouiller le fond de la gorge…

Si en plus je peux regarder mon partenaire dans les yeux, et que je croise son regard, s'il me regarde je me mets à la tache avec plus d'ardeur encore.

Je lape consciencieusement son gland, redescends lui lécher une couille que je gobe, puis l’autre . Ses mains dans mes cheveux, sur ma nuque Tous ces mouvements dans ma bouche, me caressant la langue, la glotte et le palais, sont une source de jouissance infimes pour moi, car, pour ma part, j'ai dans la bouche 3 vastes zones érogènes ...




Je serre cette queue brûlante de ma main droite. Mes lèvres viennent se coller à ma main et de haut en bas, luisant de ma salive j'enlace ce pieu de chair.
Tendre et brutal à la fois, j'aime qu' il prenne ma tête dans ses mains et me guide à son rythme, selon ses envies. J irais jusqu a sa jouissance, dans ma bouche, sur mon visage, mes cheveux. Je ne contrôle plus rien et me laisse faire.

J’aime qu’il soit maître de ma bouche et de mon corps. Cette queue qui était à deux doigts de m’étouffer à chaque mouvement me remplissait de fierté. C’est moi qui vais le faire jouir. et l’avaler tout au fond de ma gorge. C’est cet instant que j aime à penser que je saisi : un moment unique, enivrant d’éternité.

Un instant juste à moi, entièrement à moi,

Comme moi, lorsque je lâche prise sous l'emprise de mon amant et que j'atteinds l'orgasme, l'explosion et je donne lui qq instants, qq secondes seulement de moi, alors je ne maîtrise plus rien, qq instants que personne d’autre n'aura jamais, que moi je n'aurais plus jamais. Personne d’autre que nous ne saura ou ne vivra. Un souvenir unique, dites moi messieurs ça vous fait envie ou ça vous fait peur ?

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